Pour débuter cette année en beauté, nous avons le plaisir de vous présenter en avant-première le nouveau logo ainsi que la nouvelle charte graphique du Groupe FLEXICO !
Soucieux de l’environnement, du marché, des nouvelles lois et réglementations sur l’économie circulaire, nous souhaitons engager nos clients vers une démarche d’éco-responsablilité.
ont été les premières étapes de ce plan, en proposant des produits éco-responsables. En tant qu’acteur éco-responsable pleinement engagé dans l’économie circulaire, nous allons plus loin en signant notre engagement pour l’environnement et la responsabilité sociale via notre nouvelle charte graphique.
Les partis pris : Cette nouvelle identité exprime notre engagement dans une démarche éthique. Cette démarche traduit notre responsabilité sociale vis-à-vis de l’environnement, de nos collaborateurs et de nos relations avec nos clients, fournisseurs et partenaires sous le signe de la transparence. Nous avons souhaité intégrer dans notre logo, le mot « Group » pour signifier la dimension internationale de l’entreprise. Sa couleur verte en relation avec notre engagement environnemental et une nouvelle signature : Ethical packaging solutions. Ces quelques mots sont le reflet de notre engagement dans une responsabilité sociale globale.
Le CFIA (Carrefour des Fournisseurs de l’industrie Agroalimentaire) est depuis 1997 le salon référent de l’Agroalimentaire en Europe !
Durant ces trois jours se réussissent des sociétés de toutes tailles avec une offre répartie en 3 pôles : Ingrédients & PAI / Équipements & Procédés / Emballages & Conditionnements. Positionné au cœur de la Bretagne et étant la première région agroalimentaire européenne ; le salon CFIA de Rennes possède une position stratégique.
Le CFIA est une vitrine de produits et solutions de qualité pour toutes les filières des IAA (Industries Agroalimentaire). Incontestablement, il est l’évènement agroalimentaire de l’année vous proposant une vision 360° du secteur. Vous y trouverez une offre de qualité englobant les fournisseurs spécialisés pour toutes les étapes de la production.
Cette 24ème édition qui se tiendra les 9, 10 et 11 Juin 2021 au Parc Expo Rennes.
Flexico® sera présent au salon CFIA Rennes au Hall 9 (Emballages & Conditionnement). Nous vous invitions à venir nous rencontrer sur le stand E40 et découvrir notre gamme de solution complète allant du profil de votre packaging jusqu’au système de conditionnement de vos produits. Nos équipes commerciales seront heureuses de vous recevoir et de discuter avec vous pour trouver des solutions répondants à vos besoins.
N’oubliez pas de télécharger votre badge gratuitement sur le site du CFIA : Mon bagde visiteur
La loi sur l'économie circulaire a été adoptée le 8 janvier 2020. La presse et les écologistes ont longuement tergiversé sur l'échéance de 2040 censée figurer la fin des plastiques à usage unique. Une première phase prévoyait l'arrêt de la mise sur le marché des...
La démarche éco-responsable de Flexico est une source d’innovation constante pour notre entreprise. Nous cherchons en permanence à améliorer nos produits, diminuer les coûts et l’impact sur l’environnement. Depuis 60 ans, notre sachet réutilisable Minigrip® fait le bonheur des sociétés de tous les secteurs d’activité comme des consommateurs. Loin de nous satisfaire d’un tel succès, nous avons cherché comment le faire évoluer pour répondre aux exigences de nos clients et de la planète. Notre recherche constante d’amélioration nous a permis aujourd’hui de proposer un Minigrip® Biosourcé réutilisable, recyclable, éco-responsable, fabriqué en France et ce, au même prix que son grand frère : le sachet Minigrip® !
Savoir améliorer un succès…
Le sachet réutilisable Minigrip® est un des produits les plus vendus de nos gammes, avec plus de 300 millions de pièces fabriquées sur la seule année 2019 ! Imaginez depuis 60 ans combien de sachets circulent dans le monde. Vous avez certainement eu entre les mains l’un de nos sachets réutilisables !
Au fil du temps, nous avons renforcé la robustesse et la qualité du produit. Nous avons le sens des finitions pour satisfaire une clientèle exigeante :
un procédé d’extrusion unique qui garantit la transparence ;
une fermeture irréprochable, même après plusieurs utilisations, pour mettre à l’abri vos produits de toutes les contaminations extérieures ;
un sachet décliné en plusieurs épaisseurs pour répondre à tous les besoins, y compris l’alimentaire ;
une ouverture pratique ainsi qu’une prise en main facile.
Sa fabrication mono-matière permet d’obtenir un produit 100 % recyclable. Ce n’était pas si simple compte tenu des impératifs de fermeture, de solidité et de sécurité. Notre département Recherche et Développement a innové pour parvenir à ce résultat.
Les qualités de notre produit ont conquis les entreprises et, à travers elles, les consommateurs. Toutefois, nous avons voulu aller plus loin et ne pas nous reposer sur les lauriers de ce succès. Nos équipes ont donc cherché des alternatives, testé de nouvelles matières premières, confronté leurs idées et leurs projets jusqu’à l’aboutissement du Minigrip® Biosourcé !
… pour élaborer un emballage d’excellence !
Les enjeux environnementaux nous concernent tous et nous percevons davantage l’urgence chaque jour, au gré des mauvaises nouvelles écologiques, de la multiplication des catastrophes naturelles et de l’accroissement des événements anormaux !
La feuille de route pour l’économie circulaire est une des mesures gouvernementales incitatives. Elle demande notamment d’incorporer davantage de matières premières issues du recyclage dans chaque produit tout en assurant leur qualité, leur traçabilité et la sécurité des citoyens.
Ainsi, nous innovons afin d’anticiper ces futures obligations. Notre objectif est d’aider chaque entreprise à viser 100 % de plastique recyclable d’ici 2025 et la fin du plastique à usage unique avant 2040. Le plus tôt sera le mieux pour nous tous, en particulier pour les poissons de nos océans.
Nous avons donc cherché à créer un sachet non seulement recyclable et réutilisable mais également éco-responsable. Il s’inscrit ainsi dans les prescriptions de la loi sur l’économie circulaire. Fabriqué à base de canne à sucre, une matière naturelle et renouvelable, le Minigrip® biosourcé est certifié par deux organismes et bénéficie du label cyclos-HTP et du label Tüv Austria OK biobased. L’un certifie que l’emballage est recyclable et l’autre qu’il contient un pourcentage de matière première renouvelable (% biosourcé).
Chez Flexico, nous avons conscience que les enjeux environnementaux et les enjeux économiques doivent aller de pair. En effet, dans une consommation mondialisée, il est utopique de vouloir sauver la planète uniquement à l’échelle de la France ou de l’Europe. Répondre aux enjeux de développement durable sans créer des difficultés supplémentaires pour les entreprises, sans augmenter les distorsions de concurrence, en restant compétitifs. Voilà pourquoi le Minigrip® Biosourcé est proposé à un prix identique à celui du Minigrip® Original.
Et pour rester cohérent jusqu’au bout de notre démarche, le sachet Minigrip® Biosourcé est bien évidemment toujours fabriqué en France ! L’éco-conception et les préoccupations environnementales sont étroitement associées avec le bilan carbone total des produits. Aussi une fabrication lointaine et un long transport pour voir arriver l’emballage jusqu’en Europe seraient dénués de bon sens. Vous avez certainement déjà eu un sachet Minigrip® entre les mains : lors d’achat de petits objets de bricolage ou de loisirs créatifs, lors d’un séjour à l’hôpital, etc. Surveillez l’arrivée prochaine du tout nouveau Minigrip® Biosourcé !
Le secteur de l’emballage est un des secteurs où l’innovation est très présente, pour s’adapter en permanence aux attentes des consommateurs et des marques. Imagination, technologie et optimisation ont encore une place importante. Alors quelles sont les grandes tendances dans le secteur de l’emballage ? Quelles spécificités en France par rapport au reste du monde ? Plusieurs grandes tendances s’installent depuis plusieurs années : des emballages respectueux de la planète, utiles et sécurisés qui offrent une transparence.
Tendance de l’emballage N°1 : le respect de la planète
Le respect de la planète, la consommation raisonnable, la lutte contre le réchauffement climatique ne sont plus des tendances mais des prérequis pour les consommateurs. Nous sommes passés de la simple prise de conscience du problème à la volonté de le résoudre, individuellement et collectivement.
Or, l’emballage est le support idéal pour répondre aux nouvelles attentes des consommateurs grâce à l’innovation. Concrètement, cela se traduit par :
une diminution des emballages superflus avec moins de matière, un poids plus léger pour le transport, un stockage facilité ;
une éco-conception, des matières premières bio, une chaîne de production maîtrisée ;
une durabilité avec des emballages recyclés et recyclables.
Dans ce domaine, les entreprises doivent encore faire preuve de pédagogie. Ainsi plus de 6 Français sur 10 considèrent que les industriels ne font pas suffisamment d’efforts dans la conception d’emballages durables ou alors les Français ignorent les efforts réalisés (source : sondage IFOP mai 2020 pour all4pack).
Cette tendance dépasse largement les frontières françaises et se retrouve partout en Europe, en particulier dans les pays nordiques. Même dans le reste du globe, les innovations sont nombreuses. Par exemple, citons cette chilienne qui développe un bioplastique à base d’algues marines ou cette italienne qui travaille sur des emballages alimentaires 100% biodégradables conçus avec des restes des fruits et légumes, des bactéries et des levures.
Tendance de l’emballage N°2 : la sécurité
Un emballage durable mais protecteur ! Il est essentiel que l’emballage conserve sa vocation première de protection en évitant les contaminations et en permettant une meilleure conservation des aliments notamment.
Un sondage réalisé en pleine crise sanitaire de COVID-19 apporte des informations intéressantes : 85 % des Français considèrent l’emballage globalement utile et 40 % déclarent acheter depuis la pandémie davantage de produits avec emballage. Cela confirme l’importance de la sécurité apportée par les emballages (source : sondage IFOP précité).
Les emballages intelligents offrent des informations sur l’état de conservation, la température et permettent de détecter des incidents.
La récente crise sanitaire mondiale montre à quel point nous sommes tous impliqués par la sécurité, particulièrement dans le secteur alimentaire.
Tendance de l’emballage N°3 : l’utilité
Pourquoi un emballage ne devrait servir qu’une fois ? Une des grandes tendances consiste à transformer l’emballage en un autre objet, lui offrant une seconde utilité. Par exemple, un carton de pizza se transforme en rétroprojecteur ou un emballage de chemise devient un cintre ou encore une boîte à chaussures devient un masque ou un jouet pour enfant.
L’emballage doit également s’adapter aux nouveaux modes de vie. Par exemple, l’essor du vélo dans les grandes villes a conduit un célèbre fast-food à proposer un packaging qui permet d’accrocher son menu au guidon et ainsi le transporter facilement.
L’utilité consiste aussi à faciliter la vie du consommateur en proposant des packaging souples, plus faciles à transporter, plus faciles à ouvrir et à refermer et plus faciles à stocker.
Tendance de l’emballage N°4 : la transparence
L’emballage connecté ou emballage intelligent se développe dans le monde entier. Cela offre aussi aux consommateurs des informations complètes sur les conditions de fabrication du produit et sa traçabilité. Le succès des applications comme Yuka en France ou Smart Label aux États-Unis confirme cet engouement pour tout savoir d’un produit grâce à son smartphone.
La transparence est requise chez les fabricants : le consommateur engagé veut tout connaître des produits qu’il achète, non seulement les ingrédients ou les matières premières mais également le pays de fabrication, la chaîne logistique, l’emballage, la distribution, les conditions de recyclage, la marque.
L’emballage intelligent permet également aux entreprises de récolter des données et à terme de pouvoir individualiser les offres. En passant son smartphone sur l’emballage alimentaire, demain, nous aurons des idées de recettes de cuisine ou nous aurons accès à une vidéo montrant la fabrication.
Tendance de l’emballage N°5 : l’authenticité
Enfin, dernière grande tendance relevée ces dernières années, le goût du vrai, du local, du fait-main. Ainsi, une nostalgie doublée d’une volonté d’affirmation d’une identité locale ou nationale conduisent à des emballages traditionnels.
Des exemples venus du Japon, de Norvège ou du Royaume-uni affirment une volonté de retour à des gestes ancestraux, à des traditions, à un savoir-faire que l’on croyait perdu.
En conclusion, la technologie et l’innovation doivent se mettre au service de la transparence et de la durabilité. Chez Flexico, nous concevons des emballages refermables innovants, éco-conçus et durables. Le sachet Minigrip, qui existe depuis plus de 60 ans, montre encore que l’innovation est toujours possible, sans augmenter les coûts ! Avec Minigrip Biosourcé, nous proposons un emballage mono-matière, recyclable, réutilisable et fabriqué à partir d’une matière naturelle renouvelable, le plaçant au coeur du cercle vertueux des principes de l’économie circulaire.
La loi relative à la lutte contre le gaspillage et à l’économie circulaire a été adoptée définitivement le 10 février 2020. Concernant l’aspect gaspillage, le texte se veut proactif sur tous les fronts : le tri, le recyclage, la réparation, la consigne… Quelles sont concrètement les mesures prévues et à quelles échéances ? Réponses dans cet article.
La loi anti-gaspillage va faire le tri dans les déchets
D’après l’éco-organisme Citeo, le taux de recyclage en France a atteint 70 % en 2018. De fortes disparités existent cependant selon les matériaux. Par exemple, alors que l’acier est intégralement recyclé, le plastique ne l’est qu’à hauteur de 26,5 %. Or, la problématique liée aux déchets plastique qui finissent dans la nature est devenue l’une des priorités. C’est pour cela notamment que le gouvernement français a intégré dans la loi anti-gaspillage l’objectif de tendre vers 100 % de plastique recyclé en 2025.
Pour atteindre ce but ambitieux, plusieurs mesures ont été intégrées au texte de loi. Tout d’abord, le tri des déchets sera généralisé pour « tout producteur ou détenteur de déchets ». Par exemple, les métaux, verres, plastiques, papiers/cartons, textiles et bois pourront être jetés dans des bacs spécifiques dans les grandes surfaces. De cette manière, les consommateurs pourront se débarrasser des emballages dès leur passage en caisse, en 2025 au plus tard.
Par ailleurs, les règles de tri des déchets dans les communes doivent être uniformisées. Le recours à l’affichage permettra aux citoyens de disposer d’une information claire quant à ces règles. Enfin, les emballages devront indiquer de façon détaillée, le 1er janvier 2022 au plus tard, les consignes de tri qui s’appliquent pour chacun de leurs composants.
Le recyclage comme objectif prioritaire de la loi relative à la lutte contre le gaspillage
Trier c’est bien, mais l’objectif est de recycler tout ce qui est trié. Pour cela, les metteurs en marché ont l’obligation de concevoir des plastiques recyclables dès 2022, sous peine d’amende. De plus, deux objectifs progressifs de recyclage des bouteilles plastique à usage alimentaire sont définis :
77 % en 2025 ;
90 % en 2029.
Afin d’appuyer la nécessité d’améliorer la performance du tri, des campagnes de sensibilisation seront mises en œuvre par les éco-organismes. Elles porteront sur le caractère recyclable des produits mis sur le marché.
Enfin, en vue de soutenir le recyclage, il est nécessaire de trouver des débouchés aux produits recyclés. À cette fin, la loi sur l’économie circulaire et la lutte contre le gaspillage prévoit l’obligation d’incorporer des matériaux recyclés dans certains produits. Ceux-ci seront définis précisément après des études d’impact sur la santé et l’environnement.
Lutter contre le gaspillage en réparant ce qui peut l’être
Il est primordial de produire moins de déchets. Dans ce but, la réparation des produits contenant des pièces détachées constitue une excellente solution. La loi anti-gaspillage intègre donc plusieurs mesures en ce sens.
La première d’entre elles vise les producteurs d’équipements électriques et électroniques. Ils devront en 2024, au plus tard, communiquer l’indice de réparabilité de leurs produits. Cette information sera assortie de la durée de disponibilité des pièces détachées. Les consommateurs seront alors à même de les comparer, en leur âme et conscience.
Ces pièces détachées pourront être neuves ou substituées par des pièces issues de l’économie circulaire. Le but recherché est, outre la diminution des coûts pour le consommateur, la réduction de la production de déchets.
Par ailleurs, l’incitation à réparer est appuyée par des mesures concernant la garantie légale. Désormais, toute réparation durant la période de garantie induira en effet automatiquement une prorogation de cette dernière de six mois complémentaires. Par ailleurs, si la réparation n’est pas possible ou si elle n’est pas opérée par le vendeur, le consommateur peut exiger un remplacement du produit. Dans ce cas, la garantie légale repart de zéro.
Enfin, le producteur d’un bien n’a pas le droit de s’opposer à sa réparabilité ou son reconditionnement, de quelque manière que ce soit.
La consigne comme alternative au recyclage pour éviter le gaspillage
Consigne pour réemploi, consigne pour recyclage ? Ces deux solutions ont été longuement débattues dans les médias ces derniers mois. Le texte de loi laisse la porte ouverte en demandant à l’ADEME d’évaluer annuellement les performances de recyclage, notamment des bouteilles en plastique. Puis, en 2023, si les objectifs ne sont pas atteints, le Gouvernement mettra en place un système de consigne pour réemploi et/ou recyclage.
Pour rappel, la consigne pour réemploi consiste à rapporter une bouteille usagée dans un point de collecte, contre une potentielle rétribution monétaire. Ensuite, cette bouteille est lavée puis réutilisée. La consigne pour recyclage, quant à elle, consiste à faire payer aux consommateurs une écotaxe pour toute bouteille en plastique achetée. Cette taxe leur sera rétribuée s’ils rapportent ladite bouteille dans des points de collecte spécialement prévus à cet effet. Elle sera enfin recyclée.
La loi relative à la lutte contre le gaspillage et à l’économie circulaire promet de révolutionner le système français, tant en termes de production que de gestion des déchets. L’objectif avoué est de bannir le plastique à usage unique et de mettre le recyclage et le réemploi au premier plan pour tous les matériaux. L’ambition est là, certaines solutions existent déjà et d’autres les recherches restent en cours et avancent … Il ne reste qu’à appliquer et attendre les résultats !